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Un 8 mars avec Manon - Quand les femmes s'arrêtent, le monde s'arrête

Manon nous emmène à travers différentes actions du 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes. Des puéricultrices en grève à la marche mondiale des femmes, suis-là pendant une journée de lutte pour une véritable politique féministe, engagée en faveur de l'égalité des salaires et de services publics forts, et avec pour ambition de mettre fin aux violences faites aux femmes.

8 mars : le plan du PTB pour mettre fin aux violences sexuelles sur les campus

À l’occasion du 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, le PTB dépose une proposition de décret pour lutter contre les violences sexuelles dans l’enseignement supérieur, via la création sur chaque campus de dispositifs externes et indépendants de signalement et de sanctions des abus.

Quand les femmes s’arrêtent, le monde s’arrête

Chaque année, lors du 8 mars, les femmes du monde entier sortent en rue pour revendiquer leur droit à l’égalité. Cette date historique du mouvement ouvrier porte comme symbole la Journée Internationale de Lutte pour les Droits des Femmes et rassemble encore aujourd’hui par millions le mouvement féministe. Violences sexuelles, sexisme ordinaire, inégalités salariales, pensions de misère, services publics sous-financés, précarité menstruelle,... Ce 8 mars 2022, il y a encore tant de raisons de se mobiliser pour les droits des femmes. Comac appelle à la grève ce mardi, dans tous les campus étudiants du pays, avec un message clair : “Quand les femmes s’arrêtent, le monde s’arrête” ! 

INAMI : Comment empêcher le gouvernement d’aggraver la pénurie de médecins ?

500 étudiants en médecine ont manifesté ce 16 février. Ils protestent contre un projet de réforme du ministre fédéral de la Santé Vandenbroucke. Si ce projet passe, ou toute nouvelle sélection à l’entrée des études comme un concours, la pénurie de médecins risque de s’aggraver. Comme si le gouvernement ne tirait aucune leçon de la crise du Covid. Mais que contient précisément cette réforme ? Comment faire barrage et quelles alternatives ?

“Victime on te croit, agresseur on te voit !” - Stop aux violences sexuelles et sexistes sur les campus !

Les campus des hautes-écoles et des universités doivent être des lieux où l'abus de pouvoir et les agressions sexuelles n'ont pas leur place. Les victimes doivent être crues et les coupables sanctionnés. C'est pourquoi Comac exige que chaque université et chaque école supérieure disposent d'un dispositif de signalement des agressions, externe et indépendant ; d'une cellule de prise en charge des victimes ; ainsi d'une campagne de prévention contre la violence sexuelle et le sexisme. Il ne peut y avoir une victime de plus. La ministre de l'enseignement supérieur Valérie Glatigny doit prendre des mesures à ce sujet de toute urgence. Signe notre pétition ICI !

Réussite à 10/20 : l'UCLouvain et la ministre Glatigny continuent de nier la réalité

La ministre Glatigny et la direction de l’UCLouvain continuent de démentir l’existence de modalités d’examen qui contournent le Décret Paysage et sa règle qui fixe la réussite à 10/20. Il existe pourtant des preuves concrètes (voir ci-dessous) que ces pratiques sont toujours bien d’actualité. Pour Comac, ces modalités constituent une forme de sélection déguisée.

Pénurie de médecins en Belgique : les étudiants en médecine se mobilisent

En pleine crise du covid et alors que la pénurie de médecins s'aggrave d'année en année, le gouvernement s'obstine à vouloir limiter l'accès à la profession et limite le nombre de numéros INAMI aux jeunes médecins. Pour Comac, il va falloir se mobiliser pour bloquer la nouvelle loi du ministre Vandenbroucke.

Étudiant·e·s renvoyé·e·s directement en août en cas de quarantaine : la ministre Glatigny doit agir

Comac, le mouvement étudiant du PTB, demande à la ministre de l’Enseignement supérieur Valérie Glatigny de garantir à chaque étudiant en quarantaine à cause du COVID-19 le droit de passer l’ensemble de ses examens durant cette session. Les témoignages que nous avons reçus montrent qu’aujourd’hui, ce droit n'est pas garanti.

Un bon examen et pourtant un échec : stop aux modalités injustes à l'UCLouvain

Les témoignages affluent et les étudiants de la faculté de psychologie de l’UCLouvain pointent à nouveau du doigt les modalités d’examens de leur faculté. En juillet dernier, Comac, le mouvement étudiant du PTB, dénonçait déjà les modalités d’un cours qui détournait le décret Paysage et sa règle de réussite fixée à 10/20. Pourtant, ce seuil n’est toujours pas respecté dans bon nombre de cours. Cette session, un cours de 2e Bachelier de “Psychologie Sociale et Interculturelle” cristallise les tensions avec un seuil de réussite à 13,33/20. Il ne s’agit pas d’un problème isolé, ce genre de modalité injustes étant également d’application dans d’autres universités, comme le soulignent des témoignages que nous avons reçus. Ces modalités sont la conséquence du manque de financement dans l’enseignement supérieur, qui conduit à une sélection sociale.

Glatigny doit garantir à chaque étudiant·e une place pour son blocus

Avec le dernier CODECO, la ministre de l’enseignement supérieur Valérie Glatigny (MR) a limité la présence des étudiant.e.s sur les campus pour les cours uniquement. Si c’est une très bonne chose que les cours restent en présentiel, les examens approchent à grands pas et les infrastructures des établissements ne suffisent pas pour accueillir tou.te.s les étudiant.e.s pour le blocus en temps de covid. Pourtant, c’est bien d’un bon cadre d’étude, de lien social et d’entraide dont les étudiant.e.s ont besoin. Sur chaque campus, la ministre doit garantir à chacun.e une place pour étudier dans des conditions de réussite.

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