[Pétition] Un Point Violet dans chaque ville étudiante
Pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles, inspirons- nous du modèle espagnol !
Le Point Violet est un service complet axé sur la lutte contre les violences sexistes. Il s'agit d'un espace safe, avec du personnel formé, où chacun.e peut se rendre pour signaler une situation de violence, demander d’intervenir ou pour recevoir des informations ou des conseils sur la manière de traiter les problèmes de violences sexistes et sexuelles.
Notre revendication est simple : un Point Violet dans chaque ville étudiante, dans le quartier festif.
Nous, étudiants, on ne paiera pas cette crise
La crise de l’énergie affecte toute la population belge, travailleurs, petits indépendants, mais aussi les étudiants. Ils voient la température de leurs auditoires chuter, les prix de la nourriture et des kots augmenter et la sélection dans l’enseignement supérieur se renforcer. Comac exige des mesures afin que les étudiants ne paient pas pour cette crise.
Lire plusLa réussite, c'est 10 sur 20 : stop aux modalités injustes
On en a marre d'avoir un 13/20 qui se transforme en 9/20 parce que le seuil de réussite est à 14/20 ! Comme le dit l'article 139 du Décret Paysage : la réussite, c'est 10/20. Cela fait un an qu'on alerte l'UCLouvain et la ministre Glatigny sur ces modalités d'évaluations injustes.
En fac de psycho, le taux de réussite en première session est à peine de 5% : ce n'est pas normal !
Malgré 350 témoignages, plusieurs interpellations de Glatigny au Parlement et même un rassemblement en dessous de son bureau, la ministre fait toujours la sourde oreille ! Pendant qu’elle part en vacances, les étudiant.e.s sont abandonnés face à ces modalités dégueulasses. On va se faire entendre en signant un max de pétitions !
On exige que les modalités d'évaluations injustes et illégales soient abandonnées dès la session d'examens d’août.
Un refinancement de l'enseignement supérieur est nécessaire pour définitivement abandonner ces modalités qui sélectionnent au lieu d'évaluer pédagogiquement.
Si toi aussi tu veux te faire entendre, signe la pétition !
Un bon examen et pourtant un échec : Comac dit stop aux examens qui détournent la réussite à 10/20
Ça fait presque un an qu’avec Comac, nous recevons des témoignages d’étudiant.e.s qui ont des examens détournant le seuil de réussite fixé à 10/20. Alors que nous avons déjà récolté plus de 300 témoignages, la ministre de l’enseignement Valérie Glatigny (MR) continue de nier l’existence de cette pratique. Pourtant, les modalités d’évaluation injustes sont bien réelles. Il suffit d’aller parler à 10 étudiant.e.s pour vite s’en rendre compte…
Ces modalités qui ne respectent pas le décret Paysage doivent cesser. Elles sont la conséquence du sous-financement structurel de l’enseignement supérieur depuis la fin des années 1990. Elles traduisent la vision élitiste des politiques menées par la ministre. C’est pourquoi nous exigeons un refinancement de l'enseignement supérieur à la hauteur de ses besoins. Le 22 juin, nous irons déposer à la ministre les centaines de témoignages reçus pour nous faire entendre !
Lire plusPétition : stop aux violences sexuelles et sexistes sur les campus !
Les hautes-écoles et les universités doivent être des lieux sûrs. Les agressions sexuelles, les abus de pouvoir, le sexisme et l'omerta n'y ont pas leur place. Les victimes doivent être crues et les coupables sanctionnés. Retrouve notre vision en détail en cliquant ici.
Nous exigeons :
- Un dispositif de signalement externe indépendant et un comité disciplinaire externe dans chaque établissement d'enseignement supérieur.
- Une cellule d'aide dans chaque établissement d'enseignement supérieur, comprenant un soutien médical, psychologique et juridique pour les victimes.
- Une campagne de prévention contre les comportements abusifs et la violence sexuelle parmi les étudiants et le personnel.
“Victime on te croit, agresseur on te voit !” - Stop aux violences sexuelles et sexistes sur les campus !
Les campus des hautes-écoles et des universités doivent être des lieux où l'abus de pouvoir et les agressions sexuelles n'ont pas leur place. Les victimes doivent être crues et les coupables sanctionnés. C'est pourquoi Comac exige que chaque université et chaque école supérieure disposent d'un dispositif de signalement des agressions, externe et indépendant ; d'une cellule de prise en charge des victimes ; ainsi d'une campagne de prévention contre la violence sexuelle et le sexisme. Il ne peut y avoir une victime de plus. La ministre de l'enseignement supérieur Valérie Glatigny doit prendre des mesures à ce sujet de toute urgence. Signe notre pétition ICI !
Lire plusRéussite à 10/20 : l'UCLouvain et la ministre Glatigny continuent de nier la réalité
La ministre Glatigny et la direction de l’UCLouvain continuent de démentir l’existence de modalités d’examen qui contournent le Décret Paysage et sa règle qui fixe la réussite à 10/20. Il existe pourtant des preuves concrètes (voir ci-dessous) que ces pratiques sont toujours bien d’actualité. Pour Comac, ces modalités constituent une forme de sélection déguisée.
Lire plusPétition : Glatigny doit garantir à chaque étudiant·e une place pour son blocus
Les infrastructures actuelles dans les universités et les hautes écoles ne suffisent pas pour garantir à chacun·e une place pour étudier dans de bonnes conditions. Et la situation est encore aggravée par la crise covid. Il y a pourtant plusieurs raisons qui rendent essentiel de garantir à chaque étudiant·e une place pour pouvoir étudier dans des conditions qui permettent et favorisent la réussite.
1. Étudier ensemble, c'est réussir ensemble. Partager ses cours, se retrouver pour étudier, s’entraider pour les cours difficiles, … ce sont autant de clés pour une session réussie.
2. Les étudiant·e·s sont de plus en plus sous pression psychologique et un tiers présente des symptômes anxieux sévères. Nous permettre de nous retrouver pour étudier, tout en respectant les gestes barrières, c’est une manière concrète de lutter contre la solitude.
3. 1 étudiant·e sur 4 n’a pas d’espace adéquat pour étudier à domicile. Le retour à l’enseignement hybride dans le secondaire fait qu’il y a encore moins d’espace pour les familles qui vivent dans un logement exigu.
Si les bibliothèques restent ouvertes pour étudier, elles sont insuffisantes pour accueillir tout le monde, particulièrement dans les Hautes Écoles.
Comac demande à la ministre Glatigny de mettre des salles d’étude à disposition des étudiant·e·s durant tout décembre et janvier, et sur chaque campus.
Le gouvernement doit prendre des initiatives en concertation avec les acteurs de l’enseignement supérieur mais aussi les secteurs culturels, horeca et les villes et communes. Des initiatives existent déjà dans certaines villes. Si c’est possible sur un campus, pourquoi ne pas l’organiser partout ? Signe la pétition pour soutenir cette revendication 👇
Garantir la finançabilité après encore un an de cours en ligne est une question de justice sociale
La majorité MR-PS-Ecolo a rejeté la proposition du PTB et de Comac de garantir la finançabilité pour l'an prochain, comme ça avait été gagné par le mouvement étudiant l'année dernière et comme les étudiant·e·s flamand·e·s l'ont aussi gagné en début d'année. Toutes les enquêtes réalisées auprès des étudiant·e·s ces derniers mois montrent pourtant que le décrochage touche des milliers d'entre nous, en particulier les plus précaires. Il faut des perspectives pour ces étudiant·e·s. Après une année marathon de cours en ligne, va-t-on acter et accepter l’aggravation des inégalités dans notre enseignement déjà très inégalitaire ou au contraire la combattre avec une mesure spécifique qui permettra d’éviter à des étudiant·e·s de devoir arrêter à terme leurs études ?
Lire plusEst-ce que le gouvernement veut en finir avec la précarité étudiante ou seulement trouver des cache-misère ?
La précarité étudiante est un problème de société. Pour y pallier, 80% des étudiants demandent une diminution du minerval, la ministre et la majorité PS-MR-Ecolo s’y opposent et répondent qu’il vaut mieux des « mesures ciblées ». Mais quelle vision se cache derrière cet argument maintes fois répété par Valérie Glatigny ?
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